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EN FRANCE, LE SCANDALE DES IMMIGRES CLANDESTINS QUI PLOMBENT LA SECURITE SOCIALE DEJA EN FAILLITE FAIT LE LIT DE L’EXTREME DROITE

18 décembre 2010 

Merci à « Lebebfrance » d’avoir fourni le lien du Figaro sur cette enquête explosive parue en octobre. Vous y lirez les abus commis par les clandestins au détriment de l’Aide médicale d’Etat (AME), votée par les socialistes en 1999 mais que le pouvoir actuel, pourtant de droite, ne remet pas en cause pour en finir avec les excès hallucinants révélés. L’un des témoignages les plus porteurs vient du professeur Laurent Lantieri, consacré la semaine dernière « Homme de l’année » par les grands médias français, pour ses succès dans la chirurgie du visage. Il convient de rappeler que le déficit de la sécurité sociale en France va atteindre 30 milliards d’euros en 2011. Et qui paie la note ? Vous, moi, tous les Français, avec des cotisations mensuelles de plus en plus lourdes, et des diminutions toujours plus fortes des remboursements des soins, quand les illégaux profitent du système sans cotiser ni débourser le tiers payant, comme tout le monde.

Voici l’article du Figaro: 

Aide médicale d’Etat : ces vérités qui dérangent 

Par Sophie Roquelle

Depuis dix ans, les étrangers en situation irrégulière peuvent se faire soigner gratuitement en France grâce à l’Aide médicale d’Etat (AME). Mais le coût du dispositif explose. Afin de comprendre pourquoi, Le Figaro Magazine a enquêté auprès des médecins, des hôpitaux et des pharmaciens. Et fait réagir les associations. 


 

Une enquête sur l’Aide médicale d’Etat? Sauve qui peut! Dans les ministères, les administrations, les associations humanitaires, la simple évocation de ce dispositif qui permet aux étrangers en situation irrégulière de se faire soigner gratuitement déclenche une poussée d’adrénaline. «Le sujet est explosif! s’étrangle un haut fonctionnaire qui connaît bien le dossier. Vous voulez vraiment envoyer tout le monde chez Marine Le Pen?» La ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, a pris la mesure de l’hypersensibilité du dossier lorsqu’elle a timidement évoqué devant les parlementaires, en juillet, l’idée de faire acquitter aux bénéficiaires de l’AME une contribution forfaitaire de 15 à 30 euros par an. Les associations ont aussitôt accusé Mme Bachelot de vouloir grappiller quelques euros sur le dos des damnés de la terre. 

Silence gêné à Bercy, où l’on prépare un tour de vis sans précédent sur le train de vie de la nation: «coup de rabot» sur les niches fiscales, suppressions de postes de fonctionnaires, déremboursements de médicaments… Mais toucher à l’AME n’est tout simplement pas prévu au programme de la rigueur. Le projet de budget pour 2011 prévoit même une augmentation de 10 % ! 

Depuis deux ans, la facture de la couverture médicale des sans-papiers s’envole. Son rythme de progression est trois à quatre fois supérieur à celui des dépenses de santé de tout le pays: + 13 % en 2009 (530 millions d’euros pour 210.000 bénéficiaires) et encore + 17 % au début de cette année. De toute évidence, l’enveloppe de 535 millions d’euros prévue en 2010 sera largement dépassée. Pour l’an prochain, ce sont 588 millions d’euros que Bercy a mis de côté pour l’AME. Soit, à peu de chose près, le montant des recettes fiscales que le gouvernement veut récupérer sur les mariés/pacsés/divorcés, ou encore le coût global du bouclier fiscal, qui fait tant couler d’encre. 

Afin d’y voir plus clair, les ministères de la Santé et du Budget ont commandé un nouveau rapport à leurs services d’inspection. L’Inspection générale des affaires sociales (Igas) et l’Inspection générale des finances (IGF) ont déjà planché à deux reprises, en 2003 et en 2007, sur les nombreuses dérives de l’AME et ont émis des recommandations qui ont été partiellement suivies par les pouvoirs publics… des années plus tard. Ainsi, il a fallu attendre cette année pour que les attestations d’AME soient plastifiées et comportent la photo du titulaire. 

Pourquoi tant de gêne? Echaudé par la séquence «identité nationale» et l’affaire des Roms, le gouvernement n’a visiblement aucune envie d’exacerber le ras-le-bol d’une opinion publique déjà exaspérée par la montée de la délinquance. Inutile non plus d’agiter un nouveau chiffon rouge sous le nez des associations, déjà très énervées par le projet de loi Besson sur l’immigration

Ces dernières sont sur le pied de guerre, déterminées à défendre jusqu’au bout l’accès aux soins gratuit et sans restriction des sans-papiers. «Au nom d’une certaine idée de la France», martèle Pierre Henry, le président de France Terre d’asile, mais aussi parce qu’«il s’agit d’une question de santé publique» face à la recrudescence d’épidémies. Excédé qu’«on se serve de quelques cas particuliers pour faire des généralités» et jeter l’opprobre sur l’AME, Pierre Henry réfute toute idée de ticket modérateur: «Quand vous n’avez pas de ressources, chaque centime d’euro compte. Quand vous vivez dans une précarité extrême, il n’y a pas de médecine de confort.» La Cimade, association protestante très active auprès des sans-papiers, somme les pouvoirs publics de ne pas «stigmatiser encore un peu plus les étrangers». 

Il n’empêche, les députés de droite, plusieurs fois lâchés en rase campagne sur l’AME par les gouvernements en place, ont l’intention de revenir à la charge. Au front, comme souvent sur les questions d’immigration, les députés UMP Claude Goasguen et Thierry Mariani n’entendent pas céder au «terrorisme intellectuel autour de ce dossier». A l’occasion de la discussion budgétaire, ces jours-ci, ils veulent ferrailler pour obtenir une «redéfinition des soins» éligibles à l’AME. En clair, réserver le dispositif aux soins d’urgence. «Il y a une vraie exaspération sur le terrain. Chacun doit maintenant prendre ses responsabilités», préviennent ces deux élus. 

Pour la première fois, les parlementaires pourraient rencontrer le soutien de la communauté médicale. Car médecins, pharmaciens, infirmières et même certains militants associatifs commencent à dénoncer un système sans limite ni contrôle, parfois détourné de son objectif initial, voire carrément fraudé. 

C’est Laurent Lantieri qui, le premier, a mis les pieds dans le plat. Dans un entretien à L’Express publié début septembre, le grand spécialiste français de la greffe du visage a confié son agacement de voir les principes du service public «dévoyés» avec l’AME. «Soigner les étrangers en cas d’urgence ou pour des maladies contagieuses qui pourraient se propager me paraît légitime et nécessaire, prend-il soin de préciser. En revanche, je vois arriver à ma consultation des patients qui abusent du système.» Et de raconter l’histoire de cet Egyptien qui avait eu le doigt coupé bien avant de s’installer en France et demandait «une opération de reconstruction», prétextant qu’il n’avait pas confiance dans la médecine de son pays. «En réalité, poursuit le chirurgien, ce monsieur s’était d’abord rendu en Allemagne, mais il jugeait bien trop élevée la facture qu’on lui avait présentée là-bas. Une fois en France, il avait obtenu l’AME et il estimait avoir droit à l’opération!» Ce que Laurent Lantieri lui refusa. 

Du tourisme médical aux frais du contribuable? Claudine Blanchet-Bardon n’est pas loin de le penser. Cette éminente spécialiste des maladies génétiques de la peau voit parfois débarquer à sa consultation de l’hôpital Saint-Louis des patients AME venus du bout du monde exprès pour la voir. «Je vais vous dire comment ça se passe, confie-t-elle. Ils tapent le nom de leur maladie sur internet au fin fond de la Chine, tombent sur mon nom parmi d’autres et découvrent qu’en France, ils peuvent se faire soigner gratuitement. Ils arrivent clandestinement ici, restent tranquilles pendant trois mois et débarquent à ma consultation avec leur attestation AME, accompagnés d’un interprète. L’interprète, lui, ils le payent.» Le coût des traitements au long cours de ce type d’affection se chiffre en dizaines de milliers d’euros par an. 

Avec certains pays proches comme l’Algérie, l’affaire est encore plus simple. Un cancérologue raconte, sous le couvert d’anonymat : «Nous avons des patients qui vivent en Algérie et qui ont l’AME. Ils viennent en France régulièrement pour leur traitement, puis repartent chez eux. Ils ne payent que l’avion…» 

De plus en plus de médecins réclament un «véritable contrôle médical lors de l’attribution de l’AME». Ou, au moins, un accord de la Sécu avant d’engager certains soins. Car, à la différence de l’assuré social lambda, le bénéficiaire de l’AME n’a nul besoin d’obtenir une «entente préalable» avant d’engager des soins importants. C’est ainsi que des femmes sans-papiers peuvent faire valoir leurs droits à des traitements d’aide médicale à la procréation. «Pur fantasme!» s’insurgent les associations. «Elles ne sont pas très nombreuses, mais on en voit…» répond une infirmière d’une grande maternité de l’est de Paris, choquée que «la collectivité encourage des femmes vivant dans la clandestinité et la précarité à faire des enfants». Chaque tentative de fécondation in vitro (FIV) coûtant entre 8000 et 10.000 euros, la question mérite effectivement d’être posée. 

Le député Thierry Mariani n’en finit pas de citer cet article paru il y a deux ans et demi dans Libération* qui raconte l’histoire incroyable d’un couple de Camerounais sans-papiers qui voulait un enfant. Monsieur est «séropositif, il a deux autres femmes et sept enfants au Cameroun». Suivi en France pour son sida, il vient de se marier pour la troisième fois, mais sa jeune femme «n’arrive pas à être enceinte» et «s’est installée dans la banlieue parisienne depuis qu’elle a décidé de tenter une FIV. (…) Sans papiers, elle est en attente de l’Aide médicale d’Etat». Les médecins étaient, paraît-il, «perplexes» face à cette demande, mais ils finiront par y accéder. 

A l’heure où les hôpitaux croulent sous les déficits, «cette distribution aveugle de l’AME», selon le mot de Mme Blanchet-Bardon, finit par excéder les praticiens hospitaliers, «coincés entre leur devoir de soignant et les limites de la solidarité nationale». 

Pierre Henry, de France Terre d’asile, balaie les allégations de tricheries : «S’il y a des abus, les premiers coupables sont les médecins.» Mais le corps médical renvoie, lui, vers la Caisse primaire d’assurance-maladie (CPAM) qui délivre le précieux sésame. «Nous, on est là pour soigner, pas pour vérifier les attestations AME», souligne un médecin urgentiste. 

Le problème est que la CPAM ne fait elle-même qu’appliquer des textes d’une extrême légèreté, les seules conditions requises pour obtenir l’AME étant trois mois de résidence en France et des ressources inférieures à 634 euros par mois. Les demandeurs étant clandestins, le calcul des ressources relève de la fiction. «Nous prenons en compte les ressources au sens large: il s’agit plutôt des moyens de subsistance», explique un travailleur social, qui concède n’avoir aucun moyen de vérifier les dires du demandeur. 

En l’absence de données fiables, la situation des bénéficiaires de l’aide médicale est l’objet de vastes débats. Pour les associations, «l’extrême précarité» des immigrés clandestins justifie pleinement leur prise en charge totale par la solidarité nationale. Une affirmation qui doit être quelque peu nuancée. Selon une enquête réalisée en 2008 par la Direction des études du ministère des Affaires sociales (Drees) auprès des bénéficiaires de l’AME résidant en Ile-de-France, «près de 8hommes et 6femmes sur 10 travaillent ou ont travaillé en France». Il s’agit essentiellement d’emplois dans le bâtiment, la restauration et la manutention pour les hommes, de ménage et de garde d’enfants pour les femmes. 

L’hôpital représente un peu plus des deux tiers des dépenses AME, le solde relevant de la médecine de ville. Très souvent refusés par les praticiens libéraux en secteur II (honoraires libres), ces patients fréquentent assidûment les centres médicaux des grandes villes où toutes les spécialités sont regroupées. «Comme c’est gratuit, ils reviennent souvent», soupire une généraliste qui se souvient encore de la réaction indignée d’une de ses patientes, tout juste régularisée, à qui elle expliquait qu’«elle allait dorénavant payer un peu pour ses médicaments, et que pour (eux) aussi, c’était comme ça…». 

Aucun soignant – ni aucun élu d’ailleurs – ne remet en cause l’existence de l’AME ni sa vocation dans la lutte contre la propagation des épidémies, notamment de la tuberculose, en pleine recrudescence. Dans l’est de Paris, une épidémie de gale qui avait frappé un camp d’exilés afghans l’an dernier a pu être éradiquée efficacement grâce à l’aide médicale. Mais c’est la gratuité généralisée des soins qui choque un nombre croissant de médecins et de pharmaciens. 

Dans cette officine proche d’une gare parisienne, on voit défiler chaque jour une dizaine de clients avec une attestation AME. «Pour la plupart, c’est de la bobologie: aspirine, sirop…» raconte la pharmacienne, qui vérifie avec soin les documents présentés. «La paperasserie, c’est l’horreur. Les attestations papier sont tellement faciles à falsifier.»Parfois, la clientèle AME est plus nombreuse, comme dans ce quartier du Xe arrondissement de Paris où les bobos cohabitent avec une forte population immigrée. «Sur 60ordonnances par jour, je fais une vingtaine d’AME», raconte la gérante d’une pharmacie. Dans le lot figurent presque à chaque fois deux ou trois trithérapies (traitements anti-sida) et autant de Subutex (traitement de substitution à l’héroïne). «Le reste, poursuit-elle, ce sont généralement des traitements pour les petites maladies des enfants, des gouttes, des vitamines, car nous avons une forte communauté asiatique dans le quartier.» 

Les pharmaciens sont particulièrement vigilants sur le Subutex, objet de tous les trafics. Même si la Sécu veille au grain, il est bien difficile d’empêcher un patient muni de son ordonnance de faire la tournée des pharmacies pour se fournir en Subutex avant de le revendre. Le tout sans débourser un euro. Il y a deux ans, un vaste trafic de Subutex, via l’AME, a été démantelé entre la France et la Géorgie. «L’AME, c’est une pompe aspirante», insiste un autre pharmacien, las de distribuer toute la journée gratuitement des médicaments de confort et des traitements coûteux à «des gens qui n’ont en principe pas de papiers en France, alors que les petites dames âgées du quartier n’arrivent pas à se soigner». 

Sur le terrain, l’explosion des dépenses a été ressentie par tous. Et chacun a son explication. Pour les associations, c’est le résultat de la politique anti-immigration du gouvernement. Le durcissement du droit d’asile aurait rejeté dans la clandestinité un nombre plus élevé d’exilés. En outre, les sans-papiers, craignant plus que jamais d’être interpellés, attendraient la dernière minute pour aller se faire soigner. «De plus en plus de patients arrivent chez nous dans un état de santé extrêmement délabré», souligne-t-on à l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), dont les 45 établissements ont vu leur facture AME grimper de 16 % l’an dernier (à plus de 113 millions d’euros). Des soins plus complexes et des durées de séjour plus longues font flamber les coûts. 

Les travailleurs sociaux ont aussi noté depuis le printemps 2009 un afflux d’immigrants d’Europe de l’Est et de l’ex-Union soviétique: des Roumains et des Bulgares (souvent des Roms), mais aussi des Tchétchènes, des Kirghiz, des Géorgiens, et même des Russes. Les associations sont débordées par ces arrivées de familles entières. «On ne va pas pouvoir accueillir tout le monde», soupire Geneviève, permanente dans un centre d’accueil pour étrangers, qui se souvient d’un Roumain arrivé en France il y a peu, avec pour seul bagage un petit bout de papier sur lequel son passeur avait écrit: «Ici boire manger dormir argent.» 

5 Réponses à “EN FRANCE, LE SCANDALE DES IMMIGRES CLANDESTINS QUI PLOMBENT LA SECURITE SOCIALE DEJA EN FAILLITE FAIT LE LIT DE L’EXTREME DROITE”

  1. GED dit :

    Vous avez raison concernant L’AME, mais quand on lit les articles en profondeur des sites de droite ou même du Figaro, on s’aperçoit qu’en réalité ce sont toutes les prestations sociales créées en 1945 qu’ils veulent détruire.
    La droite extrême ne s’est jamais remise de la défaite de son idéologie en 1945. Il ne faut pas être dupe de ce discours spécieux. Aussi, puisque qu’ils ont le pouvoir pourquoi le pouvoir lais-e t’il cette situation ce détériorer sinon que pour l’exploiter à d’autres fins.

  2. jose dit :

    Cette callamite depasse de loin les depenses des payeurs d’impos « sous-chiens » qui s’en plaignent au nom de leurs porte-feuilles.
    Les « bidons-villes » des pays d’Afrique noir de l’Ouest (et beures du Nord) sont pleines de « pharmacies du peuple » tenues par les familiers d’immigres en Europe qui leurs envoient « PAR AVION » les medicaments recoltes gratuitement en France.
    Ces miliers de « pharmacies » sans farmaciens diplomes vendent ces medicaments et anti-biotiques sans aucune prescription (si ce n’est qu’une « prescription gribouillee par le « sorcier » qui tiend l’echoppe) et bien sur sans aucun controle du ministere de la sante dont les agents se contentent de ramasser chaque semaine une « amende » que se partage le ministre et les agents recolteurs.
    On y trouve des pilules bleues pour apprendre le francais, des rouges pour l’anglais, des multicouleurs pour devenir polyglotte et combiens d’autres pour devenir ingenieur ou univercitaire…
    De meme pour les supositoires ou les injections faites avec la meme seringue et aiguille pour tous les « patients » et que dire des centaines de millions de preservatifs recu gratuitement (grace a vos impos) qui servent a faire de jolis ballons qui etayent les « passes fornicatrices » car bien trop compliques enfiller sur « l’engin trepignant d’impatience »!
    Les miliers de deces dus a ces « pharmacies » ne derangent pas la gooooche francaise, ni les companies pharmaceutiques, ni l’AME et encore moins les gouvernements de ces pays receveurs qui y trouvent un bon businness tout en reduisant leur population trop fornicatrice (faut bien passer son temps libre quand il n’y a rien d’autre a faire dans la vie).
    Si le monde et la justice etaient competente et honnete, les gouvernements, agences gouvernementales et tout individu qui permettent et favorisent ces assaninats, devraient etre traine devant les tribuneaux internationnaux pour COMPLICES DE CRIMES CONTRE L’HUMANITE!
    La solution a ce GENOCIDE est tres simple: TOUS LES PATIENTS DE « AME » ET D’AUTRES COMMUNAUTEES NE PAYANT PAS LA « SECU » DEVRA PRENDRE (ingurgite personellement) LE MEDICAMENT PRESCRIT EN PRESENCE DU MEDECIN OU DE L’INFIRMIERE. EN AUCUN CAS UN MEDICAMENT PRESCRIT NE PEUT LEUR ETRE DONNER EN MAIN PROPRE POUR ETRE EMPLOYE ULTERIEUREMENT.
    Cela se fait en Suisse concernant les drogues.
    Ceux qui s’opposent a ce systeme de controle sont des criminels et des voyoux! La goooche et leurs « touche pas a mon potte » y perderaient leurs plus vaillants defenseurs! A eux de ce definir comme protecteurs de l’humain ou de l’hypocrisie humaine.

  3. jose dit :

    @ GED,

    Mon cher GED,
    N’etant pas francais, je ne comprends pas toutes les astuces des poiliticiens francais depuis 1945 sauf que trouve de l’hypocrisie et mensonges qui dates depuis bien avant 1945.
    Je m’y interresse a travers ce blog car peu d’autres nacions dites civilisees sont aussi imprevisibles que la votre par vos changement de « chemises politiques » dependant d’ou vient le vent.
    Que vous soyez de gooooche ou de droite (il me semble que vous accusez les deux), quel est votre posisition aujoud’hui?
    Pensez-vous que le systeme actuel est equitable pour les francais de france ou pensez-vous que ce systeme est un farce politique qui doit etre corrigee (quel que soit ses sources dans l’histoire)?
    Votre embivalence dans vos positions sont egales a vos gouvernements de gooooches qui font politiques de droite et vos gouvernements de droites qui font poliques de goooche.
    En toute honnetete, pensez-vous qu’il est normal que le contribuable francais paye pour une mosque a Paris alors que votre constitution explicitement l’interdit.
    Pensez-vous qu’il est legal pour la France de payer des cotisations de soins de sante aux familles illegales et aux maris polygammes (plusieures femmes et dizaines d’enfants vivant a l’etranger) alors qu’il est INCONSTITUTIONNEL pour un francais d’etre polygamme?
    Pensez-vous qu’il est normal que la France pay de libertees) alors que cette libertee soit bafouee et l’espris de cette libertee soit violee par vos illegeaux sous faux pretextes.
    J’espere, mon cher GED que vous pouvez m’expliquer vos raisons qui me ferront peut-etre changer ma vue d’une france dont je ne pense pas mieux que d’un Zimbabwe ou de n’importe quelle republique bananne.

  4. yves dit :

    A nous, Chers et naïfs Occidentaux …
    … hors lecteurs de Mr Thomet, s’entend.

    ARTICLE

    Introduction Générale sur la Stratégie Libérale Cloward-Piven

    1- Definition de « Libéral »: marxiste, communiste, socialiste,
    Social-Démocrate, gauche professionnelle, voire neonational-socialisme
    actuellement.
    Oeuvrer politiquement pour l’établissement d’une gestion globale
    par une entité Etatique de tous les aspects de la vie d’une société
    humaine.
    Exemple type: l’Union Européenne dans son parcours de construction
    présent.

    2- Le contexte

    - « Il est un trait particulier de la bourgeoisie – sans doute la classe sociale
    la mieux réussie de l’Histoire – .. c’est celui d’être haïe si intensément
    par quelques uns de ses plus formidables fils ou filles, inclus K. Marx
    lui-même. »
    « Dans la lutte du faible contre le puissant, il est bien connu qu’il est
    toujours plus facile d’attaquer ce dernier  » par Ian Buruma dans son livre
    « Occidentalism » .

    - Scot Burgess relève dans son « Selfish Teenagers of the Left » que
    « Les teenagers pointent leur rébellion vers ceux les moins à même de leur
    faire du mal physiquement . »
    « Il est facile pour cette gauche délurée de viser des cibles complètement
    sans danger et de se plaindre des injustices des Usa ou de l’UK avec
    l’aura de leur bon sens moral en sachant qu’on ne sera pas tiré du lit au
    milieu de la nuit et torturé à mort. C’est du gagnant à tous les coups. »

    - Le but final des Libéraux est de rendre la majeure partie des citoyens
    dépendants du gouvernement plutôt qu’indépendants de celui-ci en
    provoquant l’effondrement de l’économie. Ainsi le noyau familial en
    vigueur depuis des millénaires avec les enfants dépendants directement
    d’un père et d’une mère se voit remplacé par l’entité Etat-Providence.

    3- La stratégie appliquée

    En 1975, la ville de New York se déclare en faillite. Hormis les
    conséquences du 1er choc pétrolier organisé par les pays membres
    de l’Opec résultant en essence plus chère pour les conducteurs et un
    dollar dévalué quelque peu à la suite de la quasi-banqueroute des USA
    camouflée par Nixon en 1971via la non-convertibilité en or du dollar,
    l’économie US s’était pourtant améliorée tant bien que mal et les affaires
    tournaient bien à New York.

    Le maire de New York, Rudolph Giuliani, qui notoirement cherchait à
    équilibrer le budget de la ville, se posait des questions depuis plusieurs
    années. Il avait enfin cerné la cause véritable, mais étonnamment, il
    n’était pas en son pouvoir de maire de remédier aux méfaits de celle-ci.
    La cause en était une stratégie politique agressive qui devait être
    affrontée par une autre politique tout aussi puissante.

    Quelle était sa nature et d’où venait-elle ?

    L’agitation sociale largement violente dans les rues par les Blacks en
    1965 et sa répression souvent brutale par la police US avait induit 2
    sociologistes de l’Université de Columbia à suivre de près ces
    mouvements et à capitaliser ce phénomène selon leur vision de Libéraux.

    Il s’ensuivit un article intitulé « Mobilisation des pauvres : Comment y
    parvenir », écrit en commun et circulé dans des cercles privés en Nov 65,
    puis en Mai 66, ils publièrent toujours en commun dans la revue Nation
    un autre article sous le titre « Le poids des pauvres: Une stratégie pour
    mettre fin à la pauvreté ».

    Ces 2 articles écrits par Richard A. Cloward et Frances Fox Piven
    peuvent être considérés comme une évolution moderne du marxisme.
    Le succès fut immédiat auprès des activistes de gauche et dépassa les
    espérances des 2 auteurs.
    Cloward mourut en 2001, et son alter-ego Madame Piven exerce encore
    aujourd’hui en tant que Professeur Distinguée de Sciences Politiques et
    de Sociologie à la City University de New York.

    La première mise en oeuvre efficace du thème de ces articles fut dirigée
    par George Alvin Wiley, militant afro-américain, qui fonda le NWRO,
    l’Organisation Nationale des Droits Sociaux. Il manifesta lourdement
    à travers les USA pendant des années jusqu’à être largement considéré
    comme le responsable de la faillite de New York en 1975.

    Le plan d’action qui se dégageait de ces articles consistait et consiste
    TOUJOURS à planifier la politique suivante :

    - saturation des guichets d’aide sociale pour aboutir à la mise en
    banqueroute du système en incitant les ayant-droits inscrits et surtout les
    non-inscrits encore à réclamer TOUS leurs droits . Une fois réalisé
    l’épuisement du financement public disponible, la phase suivante est
    enclenchée :

    - L’effondrement du système de Sécurité Sociale entraîne alors une crise
    financière et politique qui secoue le pays et fait rentrer en scène une levée
    des masses pauvres chapeautées par des activistes qui pointent aux
    autorités et au « reste de la société » (c.a.d la classe moyenne en fait) les
    carences indignes de la Sécurité Sociale mettant à bout les nerfs des
    bureaucrates chargés de ce système. Phase suivante :

    - manifestations et agitations permanentes entretenues par les activistes,
    articles militants dans les presses nationales et les medias par journalistes
    sympathisants ou intéressés financièrement appelant pour une nouvelle
    politique nationale d’un revenu minimum garanti par l’Etat pour les
    travailleurs comme pour les chômeurs, en plus de leurs autres droits.
    Destabilisation des infrastructures d’élections induites par des fraudes
    volontairement variées. Dernière phase :

    - Les bureaucrates baissent les bras, s’en remettent aux politiciens de
    plus en plus affolés et cherchant à garder leur clientèle remettent les
    dossiers à l’Etat qui se trouve acculé de tous côtés, y compris par la
    classe moyenne qui évolue jusqu’à éprouver de la culpabilité, allant
    jusqu’à se scandaliserde tels manquements et de telles irresponsabilités
    sociales de l’Etat.

    . L’Etat est vaincu, accède aux pressions, renfloue les budgets sociaux
    des villes, augmente les impôts directs et indirects sur les classes moyenne
    et supérieure, il émet encore plus de bons-obligations à terme (c.a.d des
    dettes remboursables dans 3, 5, 10, 15, 30 ans avec intérêts), dans
    l’intervalle il se trouve obligé de faire marcher la planche à billets,
    dévaluant ainsi d’autant la monnaie nationale et augmentant d’autant
    l’inflation des prix.

    . En 1977, Carter instaura le Community Reinvestment Act (CRA) sous
    la bénédiction des Libéraux Radicaux. Il obligea les banques à ouvrir
    l’accès au crédit-logement à des couches sociales dont les revenus ne
    le permettaient pas, sous la vigilance rapprochée du gouvernement.
    Le but était de parvenir à l’état social de « parité raciale ».
    Les banques détestaient et freinaient logiquement ce concept au point que
    l’ACORN (Association of Community Organizations for Reform Now)
    renforça progressivement son lobbying auprès des députés Démocrates
    (Libéraux) afin que tous ces mauvais dossiers hypothécaires puissent
    être avalisés par les 2 principales agences fédérales hypothécaires,
    Fannie Mae et Freddy Mac, ce qui arriva au début des années 90.

    . Et…Surprise ! Un jeune tout juste diplômé en Droit, voisin et ami du
    marxiste poseur de bombes au Capitol et au Pentagone Bill Ayers,
    du nom d’Obama s’applique à former les recrues d’ACORN vers
    des capacités de leaders (meneurs). Le monde est petit, mais la
    stratégie Cloward-Piven est déjà appliquée à très grande échelle.
    Tellement qu’elle aboutit au crash boursier et de l’Etat US en 2008,
    et à la nationalisation (TARP) de fait des banques et du parc immobilier.

    . Au final, la classe moyenne finit appauvrie, rangée pour partie dans le
    camp politique Libéral auquel elle n’appartenait pas à l’origine, les riches
    plus informés devenant plus riches encore en broutant sur cette nouvelle
    masse élargie de pauvres et de devenus-plus-pauvres.
    L’Etat, affaibli financièrement, se trouve obligé d’employer de plus en
    plus des non-producteurs de richesses majoritairement Libéraux.
    La boucle est bouclée, la gestion du pays devient tous azimuts, sans
    tolérance pour la critique, les castes de pouvoir apparaissent et la
    langue de bois fait rage. En 2010 c’est le PC, le Politiquement Correct
    basé sur le multiculturalisme par lequel les cultures incultes, issues de
    sociétés ne connaissant que la force ou l’oppression, remplacent les
    pauvres de l’Occident des années 60.

    4- Etat de la stratégie Cloward-Piven en 2010 – 2011

    - Elle est devenue la stratégie Cloward-Piven-Soros …

    - Un personnage que l’on retrouve constamment derrière toutes les
    grandes manoeuvres de destabilisations financière et sociale répond au
    nom de George SOROS, juif hongrois d’origine, collabo des Nazis
    pendant la 2ème Guerre Mondiale, confiscateur des biens juifs,
    naturalisé américain et multibillionaire.
    A agrandi sa fortune considérablement dans les années 80 en
    précipitant la dévaluation de la Livre Sterling sous la présidence de
    Mme Thatcher.

    . Il applique sous des formes plus raffinées la stratégie Cloward-Piven
    aussi bien aux USA qu’au sein de l’Europe en se servant entre autres
    du multiculturalisme (lire l’islamisation) avec pour but d’éradiquer la
    culture occidentale sous toutes ses formes.
    Son dernier grand coup est d’avoir installé la marionnette Obama au
    pouvoir US et de gérer à sa place les dépenses stratosphériques du
    gouvernement, on approche les plus de 5 trilliards de dollars, car le
    terme milliard est démodé pour les Libéraux.

    . Soros finance le conseiller spirituel d’Obama qui s’est permis de
    déclarer à la TV britannique ce 11 Dec. que:
    « Chaque semaine je suis un communiste, un marxiste, un socialiste ou
    un nazi, ça dépend de la semaine ! ».

    . Maintenant que vous en savez un peu plus, vous comprendrez
    comment une autre marionnette a été installée et infecte le plus haut
    poste de l’Union Européenne sans passer par le suffrage direct, à savoir
    Juan Manuel Barroso, président de la Commission Européenne, maoiste
    au Parti (communiste) du Prolétariat Portuguais et du Mouvement
    Révolutionnaire des Travailleurs Portuguais.

    . Les financements « Soros » alloués à une infinité d’organismes, fondations,
    associations, trusts et medias ont le même style que ceux issus par les
    Saoudiens, les Egyptiens ou les Iraniens.
    Seule différence chez Soros: il agit ou fait agir moins « explosivement » …

    . Exemples : L’Open Society Institute de Soros finance les mouvements
    issus de l’époque du NWRO de G. A. Wiley, nommément le « Living
    Wage Movement » et le « Voting Rights Movement », tous deux sous la
    coupe de l’organisation Libérale radicale « ACORN » regroupant des
    « Communautés » prêtes aux réformes immédiates (lire: prêtes à faire la
    révolution …).
    C’est le principal instigateur de la Gauche Professionnelle veillant
    toutefois à ce que cette création lui rapporte des espèces discrètement
    tirées sur les citoyens ne se doutant de rien au moyen de subventions
    publiques, incitations fiscales, etc…

    - Les diverses ethnies musulmanes immigrées ont toutes parfaitement
    assimilé la stratégie Cloward-Piven qu’elles appliquent méticuleusement
    en n’importe quel coin de l’Occident sans en connaître les auteurs, ni
    l’histoire de son origine.
    Ce sont les syndicats d’Occident et les assistantes sociales qui mettent
    au parfum les immigrants, tout aussi ignorants du contexte historique de
    cette méthode.

    5- L’Avenir Proche

    - A chacun de décider, par son vote, de l’Occident qu’il souhaite, ou
    au contraire de participer à la disparition planifiée de tous les éléments
    de la culture Occidentale en abusant de celle-ci.
    L’outil de subversion est décrit, les ennemis de l’Occident sont en
    grande partie identifiés aux US et en Europe.

    - Dans tous les cas, le temps est compté pour exposer et contrer de
    telles manoeuvres sournoises aux conséquences bien plus dangereuses
    que le Nazisme. Avertissement aux politiciens encore sensés !

    - L’Inde et l’Amérique du Sud qui émergent se verront concernées sous
    peu directement aussitôt qu’elles atteindront un certain bien-être général.
    La Chine a compris sa propre leçon d’Histoire, l’Afrique se fait rouler,
    mais comprendra plus tard, la Russie aura toujours besoin d’un homme
    à poigne …

    Óscar Arias, ex-president du Costa Rica, déclarait lors du Sommet
    des Amériques en Avril 2009 :
    « Le 21ème siècle est celui de l’Asie, pas celui des LatinoAméricains,
    et, malheureusement, je suis d’accord avec ça ».
    « Pendant que nous autres discutons d’idéologies et des ..ismes, comme
    socialisme, capitalisme, marxisme, libéralisme, les Asiatiques se sont
    trouvés un ..isme très réaliste pour ce 21ème siècle, celui du
    pragmat..isme ! « .
    « Deng Xiao Ping a pu annoncer à ses camarades après la mort de Mao
    que: Il m’importe peu que le chat soit blanc ou noir, l’important est qu’il
    sache chasser et qu’en vérité s’enrichir EST glorieux. »

    ———————————————————————
    Article par « yves », Dec19, 2010. Rédigé en soutien à Mr Thomet
    et « Lebebfrance ».

    Tags: New York, Rudolph Giuliani, Cloward-Piven, Cloward et Piven,
    stratégie, Soros, l’Etat, USA, Occident, aide sociale, musulmans,
    pauvres, saturation guichets, aide sociale, Libéraux, Sécurité Sociale,
    banqueroute, 1975, islamisation, révolution, Wiley, NWRO.

    La nébuleuse Soros, non-exhaustive :
    - Common Dreams, corps de consultants progressifs,
    - Fund for America, America Votes,
    - Young Democrats of America, MoveOn.org,
    - knowthelies.com/?q=node/3452
    - project-syndicate.org/

  5. jose dit :

    @ yves:
    M’Bote yves,
    Excellent article qui decrit l’exacte verite du monde politique et economique d’aujourd’hui.
    Les Mafias politicardes que vous nous decrives abusent les bases de la democratie qui veut « une personne, un vote »!
    Ces regles mettent sur le meme niveau de decisions les illetres, les fous (malade mentaux), les criminels, les terroristes, les drogues qui ne cherchent qu’a vivre que de la drogue, les ouvriers (eres), les paysants, les professeurs et autres ingenieurs-medecins eduques, les mois et vous, les gens honnetes et les innombrables sangsues profiteurs du travail des autres.
    Comme vos permis de conduires a « points », une carte de votant a « points »
    donnerait une repartition plus equitable a chaque vote…tant que les politicards ne falcifient pas ces « cartes de vote » a travers leurs habituelles escuses de « politiquement correct ».

    Les mafias politicards, par leurs discours mensonges, se font elire par cette masse dont la magorite est completement ignorente des realites et « gobent » les promesses des CLUBS mafias politicardes qui ne pensent qu’a leurs poches. N’est-ce pas ce que font les dirigeants religieux depuis longtemps?
    Un monde parfait serait un monde dirige de main de fer par un dictateur HONNETE. Hummm, il y a t’il dans ce monde une HONNETE personne?

    PS Je suis etonne de que notre ami Fabio soit absent du blog.
    Hello Fabio, vos commentaires nous sont precieux.

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