20 décembre 2010
Voilà non pas un conte de Noël, mais le cauchemar vécu par un professeur réputé de Cadix (Andalousie). Quand j’ai entendu les premiers commentaires de la TV espagnole sur ce scandale, j’ai cru qu’il s’agissait de la France !
Mais non, la péninsule ibérique, cible d’Al Qaida en 2004 avec les attentats meurtriers contre la gare de Chamartin (plus de 200 morts), est le cadre de cette nouvelle avancée vers l’inéluctable islamisation de l’Europe si aucune réaction n’intervient dans ses classes dirigeantes jusqu’ici complices.
Pendant son cours de géographie sur les climats en Espagne, le professeur avait cité l’exemple du froid dans la région de Trévelez, près de Grenade, propice à la maturation du célèbre jambon « serrano pata negra » (les porcs n’y sont nourris que de glands), le meilleur au monde, et dont je me régale ici dans mon exil espagnol.
L’élève musulman est alors intervenu pour lui dire que l’évocation du cochon « offensait sa religion ». Ses parents ont alors porté plainte, et le professeur, effondré mais soutenu par ses pais écoeurés, est désormais accusé de « motivations xénophobes ». On attend la suite avec le plus grand intérêt.
Avec un tel précédent, si le professeur est condamné, il ne restera plus qu’à supprimer Noël et le calendrier chrétien, puis à obliger tous les enfants européens à manger hallal à la cantine.
J’exagère ? Je crains hélas que non.
NB Avez-vous lu ou entendu la relation de cette affaire dans les médias français ? J’en doute, car je n’ai rien vu sur leurs sites internet…
Les musulmans sont tres susceptibles, des doigts de pied et des oreilles.
Exemple de cette susceptbilite:
La vérité sur le décès de Yasser Arafat!
Hospitalisé à Paris, il se réveille d’un premier coma et interroge son médecin : – « Docteur, qui êtes-vous ? » – « Je suis le professeur Israël ». (Véridique !)
L’émotion est trop forte. C’est l’alerte cardiaque à nouveau.
Les médecins se précipitent et réussissent à réanimer le leader palestinien.
- « Où suis-je ? » demande-t-il alors.
- « Vous êtes à Villejuif », répondent en chœur les médecins.
Nouvelle attaque….
Le cardiologue prévient : – « Encore une alerte comme celle-ci et je ne réponds plus de rien ».
Arafat ouvre alors une nouvelle fois les yeux et demande : – « Quel temps fait-il dehors ? »
Et tous de répondre en chœur : – « Mossad ».
Arafat a fermé les yeux pour toujours …
Trouve dans les dossiers du Guay d’Orsay par « Wiki qui Leaks »!
Oui Jacques j’ai bien suivi cette affaire ici sur place. J’ai bien peur que l’Espagne prenne le meme chemin que la France et que les musulmans abusent de la liberté et du respect des cultures et des religions qui leur est offerte. Nous en sommes pas encore à condamner des rues entieres pour la prière du vendredi (à moins que je n’en ai pas connaissance) mais cela débute toujours ainsi, quelques faits divers, puis viens le voile à l’école (le problème c’est déja posé plusieurs fois aussi) puis viens la « caillera » et c’est parti (zone de non droit, trafics en tout genre, violence, incivilités, etc….). à suivre
L’origine de cette sinistre actualité est sans nul doute à rechercher dans la politique du gouvernement Zp. Sans aucun mandat populaire en ce sens, Zp prétend imposer à l’Espagne ce laïcisme agressif qu’a justement dénoncé le pape Benoit XVI. Alors que son pays connaît les difficultés économiques et sociales sans précédent que l’on sait, Zapatero continue à vouloir imposer à marche forcée de vieilles recettes laïcistes et anticléricales que personne ne lui a jamais demandé de mettre en oeuvre… et qui contribuent encore un peu plus à démoraliser la société, en sapant les fondements sur lesquels elle est assise.
Il faut souhaiter pour l’Espagne que les racines catholiques qui continuent heureusement à l’irriguer aient raison d’une politique aussi suicidaire… et l’on attend avec impatience les pouvoirs publics venir défendre ce professeur qui n’a jamais fait autre chose que son travail.
Le vide sidérant de valeurs qui caractérise l’Espagne du gouvernement Zapatero n’a que trop duré. Puisse le peuple espagnol être de nouveau fier de ses racines, de sa culture et de son histoire et continuer à croire aux valeurs qu’il a tant contribué à répandre de par le monde.