Merci à Yves pour sa traduction!
03 janvier 20010
Article en anglais de Maria Anastasia O’Grady, choisi par “Fabio”, traduit par “yves”, et revu par Jacques Thomet. Dans la droite ligne du papier de Todorov récemment publié ici.
Des milliers de personnes ont souffert du déchaînement de la
gauche qui précipita le putsch militaire de 1976.
“Ceux qui contrôlent le passé contrôlent le futur, celui qui contrôle le présent contrôle le passé.”
- Parti slogan de Big Brother, “1984,” par George Orwell
La Justice ne s’installe pas facilement partout dans le monde. Mais dans l’Argentine d’aujourd’hui, il est périlleux de seulement mentionner en public les victimes du terrorisme de la gauche du pays, sans parler de les amener à se présenter eux ou leurs proches parents survivants devant une Cour [pour témoigner]. Essayez et vous serez probablement tancé par la Gauche argentine comme un ami fasciste de l’ex-régime militaire. Les [gens] du “politiquement correct” savent que ceux qui furent brutalisés par les guérillas, que Juan Peron (ex-président) désigna une fois de “jeunesse merveilleuse”, sont censés être effacés de la mémoire nationale.
L’avocate argentine Victoria Villaruel, 35 ans, défenseur des Droits de l’Homme, s’y refuse. Elle a fondé le “Centre Argentin d’Etudes Légales du Terrorisme et de ses Victimes”, avec pour objectif de lister les milliers de crimes terroristes commis entre 1969 et 1979.
Elle pense qu’apporter la lumière sur cette sombre décennie aidera à fournir un meilleur et juste futur à tous les Argentins. Chacun sait comment la junte militaire renversa le gouvernement en 1976 et écrasa ensuite sans pitié les mouvements de subversion. Ses abus de pouvoir furent légion et, en 1983, elle quitta le pouvoir dans un pays plongé dans une hyper inflation et le chaos
économique.
Mais l’Argentine avait vécu une autre tragédie antérieure, et pendant quelque temps après que les militaires eurent saisi le pouvoir. Ce fut une vague de carnage et de destruction déclenchée par des bandes de guérillas s’inspirant de Castro, pour tenter de prendre le pouvoir en terrorisant la nation. Leurs actions provoquèrent le chaos à l’échelle nationale, puis le coup d’Etat militaire. Pourtant, à cause de la fin honteuse de la junte militaire, les terroristes et leurs sympathisants réussirent à réécrire l’histoire en ne relatant que les seuls crimes de leur ennemi en uniforme. D’ex-membres ou membres actuels du gouvernement Kirchner, d’autres du Congrès et d’autres travaillant dans les média furent des membres bien connus d’organisations subversives.
Lors d’une interview à Buenos Aires en novembre 2010, Mme Villaruel m’a raconté que même les politiciens de l’opposition ne parlent pas des victimes du terrorisme car cela est devenu “tabou” de le faire. L’Etat, dit-elle, les traite comme s’ils n’étaient jamais nés.”
Le résultat est qu’une génération d’Argentins a grandi sans aucune conscience de la vraie histoire de cette époque de terreur. Mme Villaruel est de l’opinion que la “Vérité et la Justice” requiert que ces victimes soient reconnues. Son livre, “Ils s’Appelaient Les Jeunes Idéalistes”, de 2009, est un pas en avant vers ce but. Dans celui-ci, elle documente avec des photographies et des coupures de presse la dévastation que ces terroristes ont infligé
à leur propre peuple. “Vaincre ou mourir”, le slogan de l’Armée Révolutionnaire du Peuple (ERP), apparaît en graffiti sur un camion dans un cliché.
Ce livre comprend les photos de quelques milliers de victimes : des bébés, des adolescents, des diplomates, des businessmen, des juges, des policiers.
Les uns furent enlevés et assassinés. D’autres furent tués ou mutilés simplement parce qu’ils se trouvèrent à proximité d’une bombe qui venait d’exploser. Les mineurs (d’âge) furent enrôlés dans les armées
révolutionnaires. Tous furent considérés comme du simple gibier par les rebelles qui cherchaient à refaire le monde à travers la violence. Dans cette même interview de novembre 2010, Mme Villaruel décrit le travail de son centre sur le terrorisme : consultation des archives de journaux et dialogue avec les membres des familles et les témoins quand ils y sont disposés. Beaucoup d’entre eux vivent dans la peur de représailles, dit-elle.
Elle m’a appris que le Centre est parvenu à identifier par leur nom 13.074 victimes du terrorisme. Ce sont des bilans préliminaires. Mme Villaruel est tellement soucieuse de la justesse de son travail qu’elle a fait faire un audit indépendant à deux reprises. Elle espère que les décomptes définitifs seront prêts pour le milieu de cette année 2011. Il est intéressant de noter que le nombre de procès contre la junte militaire pour abus de pouvoir totalise moins de 9.000 cas. Pendant ce temps, la justification du gouvernement Kirchner pour nier l’existence des victimes de ce terrorisme de gauche consiste à les considérer comme des victimes de crimes ordinaires, leurs auteurs étant désormais exempts de poursuites de par la loi Statut des Limitations (NDLR : sorte d’amnistie).
Mais Mme Villaruel affirme démontrer que les victimes
ont été des civils attaqués par des mouvements de guérilla dans leur quête sans merci pour le pouvoir. Si ce qu’elle avance se confirme, il ne s’agirait plus en l’occurrence de Statut de Limitations, en vertu de la Convention de Genève de 1949 ratifiée par l’Argentine. Dans son étude du terrorisme des années 70, elle n’a
jamais “compris les raisons pour lesquelles un groupe, s’attribuant [arbitrairement] la représentation du peuple, a décidé d’assassiner son propre peuple, en alléguant une présumée cause juste et une nécessité
politique.”
Totalement d’accord avec cet article et la démarche de l’avocate Villaruel. enfin une initiative pour rétablir une vérité – ou des vérités – que malheureusement on n’entend pratiquement jamais: le terrorisme intellectuel gaucho-marxiste est toujours à l’oeuvre, et pas que chez nous. Le fameux sens de l’histoire…. qui a quand même coûté la vie à au moins 100 millions de personnes. Ce doit être aussi un « détail de l’Histoire ».
@ Jacques, yves, Fabio et a tous:
Il y a la gooooche et l’extreme gooooche, la droite et l’extreme droite, il y a les anarchistes (tous de gooooche) ou peut-etre qqs arnarchistes de droite.
Un criminel de goooche est appele « un freedom fighter », un criminel de droite est appele « un criminel ».
Un dictateur de gooooche est appele « un humaniste », un dictateur de droite est appele « un sale dictateur »!
Voyons les differences entre ces memes personnes.
Staline (un dictateur de gooooche) extermina plus de 20 millions de ses cons-citoyens, Hitler (dictateur de goooche a travers son parti Nazi-socialiste) extermina…(on ne peut les compter), Mao (un dictateur de goooche en extermina….).
Les sales dictateurs de droite egalement ont extermine leurs cons-citoyens.
Ceux d’Argentine en ont extermine qqs centaines de millies, Pinochet (qqs dizaines de millies), etc….
Les Papes Catholiques (a travers l’inquisition) ont extermines des millions d’ennemis au catholisisme de 1500 jusqu’en 1870 alors que les Musulmans ont extermines beaucoup plus de millions d’ennemis a leurs religion depuis l’an 670 et ils n’ont pas termine de le faire en l’an 2011 par leurs envoyes criminels a travers le monde dont en France.
N’oublions pas Napoleon Ier qui extermina des millions de gens au nom de la glorieuse France en se pretendant etre l’exemple de l’egalite-fraternite-…et autre hypocrisie.
Que les gouvernements du monde se disent « socialistes ou democratiques » (appelations hypocrites). La Coree du Nord n’est elle pas la Republique Democratique de Coree, democratie qui n’est qu’une prison au service de son dictateur « socialiste » comme la Republique Democratique du Congo qui n’etait rien d’autre qu’une prison au service du dictateur Mobutu!
D’autres gouvernements se disent « Islamiques » qui n’est rien d’autre que des dictatures dont le peuple est soumis (sous peine de mort) au service de qqs familles dictatoriales.
Yves, Fabio et Jacques pouraient nous definir les veritees qui se cachent derriere toutes ces « appellations hypocrites ».
Je me pince souvent la peau en ce moment en me demandant si j’ai bien
vécu en Argentine vers la fin de cette époque trouble, d’autant plus que
je l’ai vécue dans un milieu de banquière et banquiers … lesquels, bien
plus tard, furent l’objet d’un scandale financier énorme à Buenos Aires.
Soyez rassurés, ils coulent des jours heureux sur la Côte d’Azur et dans
le reste du monde à ce jour.
Cet article me montre comment on peut être naïf quand on est jeune et
comment on peut suivre l’opinion mainstream à cet âge sans chercher
à aller plus loin derrière. (clin d’oeil à SD).
Cela ne signifie en rien que j’aurais été à 100% du côté des militaires,
je critique la cruauté injustifiée et inutile qu’ils ont infligée.
Ils se sont mis au même niveau anti-humaniste que le terrorisme d’extrême gauche de ce pays, et ce n’était pas cette carte qu’il eût
fallu jouer.
Merci à « Fabio » de mettre en lumière les opinions politiques étonnantes
« mères du 1er Mai ». Elles me renversent !
Aaah … l’Argentine !
@jose: M’Boté !
Je viens de poster en même temps que vous !
J’ai bien aimé la reflexion au 3ème degré sur la couleur !
J’essayerai de répondre sur ces « appelations politiques »….
Hors sujet: Les évènements mondiaux semblent s’accélérer nettement.
Bikanam m’boté, jose.
Clin d’oeil a Yves
notre ami Naïf
(en excusant ma turpitude dans les alexandrins)
Nota bene: Je renvois a l’attention d’Yves une depeche AFP parmi d’autres qui avaient ete discutées dans le blog au moment que les « Meres des Montoneros fils de pute » secouraient comme d’habitude les narco-terroristes des Farc et diabolisaient l’Etat de Droit colombien et son President democratiquement et massivement elu.
Remarquons que l’AFP continue a parler des « 30.000 disparus » de Videla & Co, tandis que les estimations plus serieuses n’atteignent pas les 9.000 disparus.
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Madres de Plaza de Mayo apoyan a FARC y a Chávez y denostan a Uribe
Univisión
03 de Enero de 2008, 08:02pm ET
BUENOS AIRES, 3 Ene 2008 (AFP) -
La organización humanitaria argentina Madres de Plaza de Mayo respaldó a la guerrilla colombiana de las FARC y al presidente venezolano, Hugo Chávez, y denostó al mandatario colombiano, Alvaro Uribe, en su semanal marcha de los jueves frente a la Casa Rosada (Gobierno).
“Uribe tiene más de 500 rehenes de las FARC y de eso no se habla. Se habla nada más que de los rehenes que tiene la gente de las FARC y no de los (integrantes) de las FARC que tiene Uribe”, dijo Hebe de Bonafini, presidenta de Madres de Plaza de Mayo.
“Estamos con los compañeros de las FARC, estamos con Chávez, estamos con nuestro Presidente (por el ex mandatario argentino Néstor Kirchner) que fue” a Colombia, para participar de una misión internacional destinada a recibir a tres rehenes que la guerrilla iba a liberar.
La operación finalmente frustrada, fue organizada por Chávez para recibir en Colombia a la ex candidata a la vicepresidencia Clara Rojas, su hijo Emmanuel -nacido en cautiverio- y a la ex congresista Consuelo González.
Bonafini, en tanto, calificó de “invento, porquería” la hipótesis planteada por Uribe según la cual las Fuerzas Armadas Revolucionarias de Colombia (FARC, marxistas) incumplieron la entrega de los tres rehenes porque no tienen a Emmanuel, quien estaría desde 2005 en un “hogar sustituto” del Estado.
La dirigente humanitaria calificó al presidente colombiano de “hipócrita y falso”.
Las FARC plantearon un canje humanitario por el cual entregarían a 45 rehenes, entre ellos la ex candidata presidencial Ingrid Betancourt, a cambio de la liberación de 500 de sus integrantes presos en Colombia.
Bonafini pronuncia habitualmente un discurso al término de las rondas semanales en la plaza que dio nombre a la organización conformada en 1977, en dictadura, cuando un grupo de mujeres comenzó la búsqueda de sus hijos desaparecidos.
Unsa 30.000 personas desaparecieron en la última dictadura (1976-83).
J’espere qu’apres celle-ci Yves ne sera pas trop etourdi, on a besoin de ses commentaires et ses precieuses traductions!!
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El Mundo, Madrid
TERROSIMO | El ‘apóstol del separatismo’ estuvo en Argentina
La presidenta de las Madres de la Plaza de Mayo fue anfitriona de un etarra
Ramy Wurgaft | Buenos Aires
Actualizado jueves 07/10/2010 13:02 horas
El ‘apóstol del separatismo’, como se le conocía en Europa, había buscado refugio en diferentes países de Sudamérica, sin que ninguno le abriera las puertas. Walter Wendelin probó suerte en Chile, cuando todavía gobernaba la socialista Michelle Bachelet, y le fue mal. Ni siquiera Hugo Chávez, quien presuntamente ha albergado en su país a miembros de la ETA, quiso que Wendelin se radicara en Venezuela. El barbudo de 53 años fue detenido la semana pasada en España, donde se le acusa de pertenecer a Askapena, una banda afiliada a ETA.
Un dato que llama poderosamente la atención es que así como el régimen venezolano le dio el trancazo, las autoridades de Argentina no tuvieron reparo en que el presunto pistolero de origen suizo entrase a su territorio. ¿Dónde se hospedó? ¿De qué vivió?
Según los datos que maneja la Audiencia Nacional de España, la principal anfitriona de Wendelin en Buenos Aires fue Hebe de Bonafini. De acuerdo con esa versión, la jefa de la asociación de Madres de la Plaza de Mayo, le consiguió alojamiento y lo invitó a dictar conferencias en la universidad que dirige su organización.
Walter Wendelin.
Bonafini y Wendelin se conocieron durante el Congreso Bolivariano de los Pueblos que tuvo lugar en Caracas, en el 2003. El activista internacional, que en los 80 se había instalado en Nicaragua para apoyar la revolución sandinista, quiso quedarse en Venezuela, pero las autoridades no le extendieron la visa. A partir de entonces se estuvo desplazando entre Uruguay y Argentina.
En la teleconferencia que mantuvo en el 2005 con una audiencia catalana, Hebe de Bonafini manifestó: « Nosotras (las Madres de Plaza de Mayo) somos amigas y compañeras de las madres de los presos de ETA y lo seremos siempre ». Más adelante, la conferencista dijo que « lo peor del franquismo sigue vigente en tierra española y se denuncia que el Estado español es un estado asesino y criminal ». Fue en consideración a su pasado de luchadora por los derechos humanos, que el gobierno hispano no la denunció por hacer apología del terrorismo.
Al parecer, Hebe no fue la única que prestó ayuda a Walter Wendelin a su paso por Argentina. También lo hizo la ex diputada nacional Patricia Walsh y Gustavo Franquet, un dirigente del grupo de extrema izquierda Quebracho. Otro de sus contactos en Buenos Aires fue Eduardo Soares, el abogado que representó a Jesús María Lariz Iriondo, un etarra cuya extradición pedía el gobierno de José Luis Rodríguez Zapatero. El Tribunal Supremo de Justicia falló en contra de ese pedido.
En los últimos días, Hebe de Bonafini se ha puesto al frente de la ofensiva que los Kirchner dirigen contra el Poder Judicial. En un acto organizado por el oficialismo, la famosa madre llamó a la multitud a tomarse la sede del Tribunal Supremo y calificó a los magistrados de esa corte, de « basura » y de « mierda ». La mujer, que antaño enfrentó a la Dictadura, es ahora la aliada más firme del matrimonio Kirchner. Y para muchos, la persona que difunde a los cuatro vientos, las ideas que la presidenta Cristina y su marido Néstor no se atreven a expresar en público.
Non seulement pro-Farc, pro-Sendero, pro-Eta, et pro-BinLaden, cerise sur le gateau, l’antisemitisme.
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Associated Press
BUENOS AIRES
Hebe de Bonafini, presidenta de la rama radicalizada de las Madres de Plaza de Mayo, cosechó ayer ataques de diversos sectores, al descalificar a un periodista que la criticó por su condición de judío.
En declaraciones que publica el semanario 3 Puntos, Bonafini dijo que Horacio Verbitsky, columnista del matutino Página/12 y titular de un organismo defensor de los derechos humanos, « es un sirviente de Estados Unidos. Recibe un sueldo de la Fundación Ford y, además de ser judío, es totalmente pronorteamericano ».
Consultado, Verbitsky se limitó a decir que « es una declaración lamentable e inaudita ».
Verbitsky desató una polémica en los medios de izquierda al criticar en Página/12, en un artículo que tituló La alegría de la muerte, declaraciones de la señora Bonafini elogiosas de Osama bin Laden, a quien definió como « un revolucionario ».
Bonafini había expresado su satisfacción por los atentados terroristas del 11 de septiembre en Nueva York y Washington, afirmando que Estados Unidos había « tenido su merecido por su historial de agresiones contra los países del Tercer Mundo ».
Carta de las Madres de Plaza de Mayo al pueblo Vasco
Hemos recorrido numerosos pueblos de Euskal Herria, en una gira organizada por el Grupo de Apoyo a las Madres de Plaza de Mayo del País Vasco.
Queremos expresar nuestro profundo agradecimiento por la hospitalidad y generosidad de los ayuntamientos de Vitoria-Gasteiz, Etxarri Aranaz, Donosti-San Sebastián y Oiartzum.
También deseamos agradecer la respuestuosa recepción del Parlamento Vasco, frente al cual las Madres de Plaza de Mayo hemos podido exponer nuestro pensamiento y los principios que rigen nuestra lucha.Pero nuestro amor, es para el Pueblo Vasco. Cada día junto a ustedes, hemos sentido vuestra ternura, vuestra comprensión y vuestros sueños, aún en medio de tanto dolor y sufrimiento.
Las Madres de Plaza de Mayo hemos compartido con las Madres Vascas el dolor por sus hijos presos, perseguidos y asesinados.Las Madres de Plaza de Mayo compartimos la esperanza en que el Pacto de Lizarra-Garazi pueda sentar las bases para un proceso de paz. Hoy, el Pueblo Vasco le está mostrando al mundo que desea ser protagonista de su propia historia y que son los Vascos los que deben resolver la situación en Euskadi.Sabemos que el Estado Español intenta proseguir la guerra y provocar una ruptura de la tregua. Las detenciones, las torturas, las ejecuciones, nos demuestran que lo peor del franquismo sigue vigente en la tierra española.
Las Madres de Plaza de Mayo repudiamos el cierre del Egin, pero sabemos que el intento del Estado de acallar la voz libre de Euskadi, fracasará ante la voluntad indoblegable de un pueblo que lucha por su libertad.Las Madres de Plaza de Mayo queremos dejar nuestro amor y solidaridad, a los cientos de hombres y mujeres que hoy sufren en la cárcel, las torturas, las violaciones y la dispersión criminal del Estado Español. Esos hombres y mujeres son para el mundo un ejemplo de dignidad y de resistencia. Las Madres sabemos que el único y verdadero terrorismo es el que se ejerce desde el Estado.Como Madres, hacemos nuestro vuestro grito:
¡Euskal Presoak Euskal Herrira!
Porque la única lucha que se pierde es la que se abandona,
¡Ni un paso atrás!
Hebe de Bonafini
Presidenta
Hebe de Mascia
Consejera Directiva
“En Latinoamérica Josu Lariz Uriondo mostró ser un trabajador ejemplar, y más ahora, que ha formado familia. Eso es lo que hay que tener en cuenta, como lo dijo el Premio Nobel de la Paz, Pérez Esquivel, hace unas horas durante el juicio. Sería lo mismo que la Argentina se dejara llevar por el odio de un problema profundo de la península que España todavía no ha logrado resolver. No va a lograr la paz con conseguir la extradición de un acusado al que no se logró probar nada. España tiene que solucionar por fin los problemas con el noble pueblo vasco con paz, inteligencia y grandeza. La Justicia argentina tiene que decir bien fuerte que Lariz Iriondo es un perseguido político y que para esa clase de hombres nuestra tierra siempre se mantendrá abierta…”
(Osvaldo Bayer en Página 12, sobre el juicio de extradición pedido por el gobierno español a Josu Lariz Iriondo, integrante de ETA, acusado de poner uan bomba en Eibar en 1994, causando herias a varias personas)
@Fabio:
- Je suis … par terre maintenant ! Vous m’avez achevé !
Ce sont d’excellentes pages que vous avez pu retrouver aussi vite grâce
à votre organisation d’archives et/ou votre mémoire.
Je les archive de ce pas.
Je tenterai d’en faire un organigramme parlant, la simplicité visuelle
convainc plus vite que les lignes d’écrit.
Les Sud Américains se doivent de cesser de copier ces idéologies irréalistes de la Vieille Europe et procéder comme Óscar Arias, ex-président du Costa Rica, le dit si bien: « de tous ces ..ismes, il faut
maintenant en retenir le pragmat..isme comme l’ont fait les Chinois »
[j'ai raccourci la citation].
C’est la Chine et la 3ème Voie de Sarah Palin (Usa) qui innovent en
ce moment dans le monde.
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@jose, M’Boté:
Un grand merci pour l’exposé récapitulatif de nos hypocrites de l’Histoire
et des « Détails de l’Histoire que »Hervé » dénonce.
Nos jeunes générations en ont vraiment besoin.
J’ai apprécié « Un criminel de goooche est appelé “un freedom fighter”,
un criminel de droite est appelé “un criminel”.
J’archive votre exposé !
Effectivement Yves, l’expression « jeune c… » a parfois sa raison d’être. Et je tombe à nouveau sur le fondement en lisant les articles de Fabio, moi qui ais grandis dans le culte des mères de la place de mai.
Le problème du contre-terrorisme, c’est que généralement c’est une guerre sale, puisque l’ennemi n’est pas en uniforme. Je ne connais personne qui a fait cela de façon propre, même pas les États-Unis qui généralement accordent beaucoup d’importance aux droits de l’homme. Ensuite, pour les basses besognes, on utilise souvent des individus de basse moralité qui n’hésitent pas à avoir la main lourde, et ne font pas dans le détail.
A Yves,
Je suggere de complementer vos archives avec l’intervention finale de Videla dans son proces, disponible sur Youtube, qui rappele plein de faits historiques sur le coup d’etat, sur l’etat de terreur et angoisse qui vivait le pays, l’inoperance de la police et la justice, et comment Isabelita Peron herself a appelé les militaires a sauver l’ordre du pays.
Vous pouvez essayez de trouver dans youtube les videos sous ces titres:
- « Jorge Rafael Videla ‘Había que combatir al enemigo’ « , posté par « prudencionavarro1″, youtube Dec 24 2010
- « Videla: ‘Asumo en plenitud mis responsabilidades castrenses’ « , posté par « racaruiz01″, Jul 25, 2010
(desolé de ne pas donner le lien, mais comme vous savez unblog les bloque dans mes messages)
Comme je l’ai dit dans un commentaire precedent les Kirchner et les jugards montoneros ont reussi la tache impossible de dignifier Videla, et le faire appaitre comme homme de principes et d’honneur a coté de telles racailles.
C’est necessaire aussi de rappeler que le genocide Firmerich, ancien chef des Montoneros est « Professeur » de « Economie » dans une université publique de Catalogne, et vit en tout confort de la poche de vous, contribuables europeens, dans cet « Etat Terroriste » qui est l’Espagne d’aujourd’hui. Certainement il n’est pas dans le 20% des chomeurs espagnoles, ni victime de la crise financiere.
La partie finale de l’intervention de Videla est dans la video titulée
- « videla: ‘Gramsci puede estar satisfecho por sus alumnos’ « , postée par goliardoargentino, youtube, Dec 21, 2010
Si vous ne trouvez pas dans le moteur de youtube, c’est facile de le faire avec Google, je viens de verifier.
Le mot « imperialiste ou imperialisme » est tres cher aux gooochistes pour definir ceux de droites ne veut plus rien dire aujourd’hui et ils s’en servent pour denigrer leurs ennemis.
L’imperialisme d’aujourd’hui se trouve principalement dans les gouvernements du tiers monde (pour beaucoup dictatoriaux) que dans les gouvernements occidentaux (democratiques) dont certains en trop grand nombre profitent de leurs position politique pour se remplir illegalement les poches.
L’imperialisme peut etre armee, religieuse, economique, de savoir, culturel et meme musical.
Les Grecs « imperialistes » l’etaient par tous les points ci-dessus nommes, comme le fut celui des Romains, des Huns, des Ottomans, des Chinois, des puissances d’Europe a partir de l’an 1500 jusqu’en 1960 (independance des colonies).
Les Japonais « imperialistes et colonisateurs » de l’Asie de 1900 a 1945, les Allemans « imperialistes et colonisateurs » de l’Europe de 1940 a 1945, l’URSS « imperialiste et colonisatrice » de l’Europe de l’Est de 1945 a 1980…sans compter leurs imperialisme du temps des Tsars suivi par les Bolcheviques depuis 1917.
L’imperialisme religieux des Chretiens a travers « l’inquisition » de 1500 jusqu’en 1850 ou des Musulmans de 660 a nos jours, des imperiaistes aux cinq points.
L’imperialisme economique, de savoir et culturel ne font qu’un car l’un ne va pas sans les autres.
Le savoir des Occidentaux ont ouvert une economie aux pays du tiers monde qui ont « de libre choix » suivi cette culture superieure dont la musique (a la sauce locale). Beaucoup d’Europeens se revoltent contre la culture Americaine et pourtant ces Europeens ne font que copier cette culture venant d’outre Atlantique. Il ya qqs annees, la France a meme passe une loi interdisant l’emploie de mots d’anglais dans les medias. « Parking » remplace par
« endroit ou placer sa voiture », « cocktail » remplace par « un petit verre d’alcool avant le repas », « computer » remplace par « logicielle electronique avec clavier »,
« E-mail » avec « couriel », et j’en passe! Que voila donc pas une forme « d’imperialisme »! Sans oublier l’appelation « jeunes » pour « Muslim terroriste criminel »!!!! Bien sur vous avez « francise » le « blink » par votre « bling-bling » (pourquoi pas brillant-brillant) ou « cool » par « froid », ou « business » par « salopperie americaine de voleurs », ou ….ou….!
Outre d’interdire l’evolution a travers la culture superieure d’un autre pay (que vous copiez) vous avez fait une loi obligeant les medias a difuser X films francais pour X films US alors qu’en grande majorite les francais preferent les films americains. Je comprends pourquoi.
Il me semble que « l’imperialisme francais » n’est plus « international » mais un imperialisme contre la liberte de ses propres citoyens parceque la france des politicards n’est plus qu’une petite puissance regionale qui va en diminution chaque annee. Pas plus tard qu’hier, un ami francais (ingenieur nucleair tres cote et directeur d’une grande societe francaise) me disait se preparer a quiter la france (vendre sa maison) et s’installer outre-atlantique a sa pension dans qqs anees.
Revenons en a « l’imperialisme ».
Chavez, Castro, Mugabe, Ortega, Morales, les Kims de Coree du Nord, barbu d’Iran et autres babus ou moustachus et biens d’autres dictateurs accusent les pays occidentaux « d’imperialisme » alors qu’ils sont eux-memes les « imperialistes » de notre epoque.
Ils le sont a travers « le petrole, le petrole et la religion, d’autres le sont uniquement a travers d’une religion moyenne-ageuse que seul peut comprendre leurs citoyens illetres et oprimes qui prennent « leurs pieds » a egorger les moutons trepignants sous la douleur ou leurs opposants ligottes, voila qui les « exitent »!
Seul les faibles de ce monde cherchent des escuses dans le passe et prennent pour escuses ce passe lointain pour escuser leurs « imperialisme et crminel actions d’aujourd’hui ».
Conclusion: l’Occident doit-il se laisser faire devant cette avalanche hypocrite et menteuse du tiers monde ou l’occident doit-il tenir ferme contre l’anti-occidental? Seul les Suisses et les Holandais ont les « couilles » pour se revolter contre la colonisation enemie de leurs patrimoines et de leurs cultures.
Ce derinier mois de l’anne 2010 (decembre), mes epargnes ont augmentes de $50,000 grace a mes placements en bourse « capitalistes ».
Les placements au Venecuba socialiste ont perdu la moitier de leurs valeurs. (je n’ai aucun placement dans cette republique dictatoriale comuniste criminelle)…ni dans aucune des dictatures amies de Chavez et des goooochistes.
Complétant ce qu’expose « jose » à propos de la Suisse en particulier:
Suisse 2 Janv 2011:
Christoph Blocher a fermement critiqué dimanche les propos tenus
par Jean-Claude Juncker à l’égard de la Suisse. Le chef des finances
de l’Union Européenne ( J C Junker) avait considéré comme une
absurdité sur le plan géostratégique la tache blanche représentée
par la Suisse sur la carte de l’Europe. (!)
« Ça ne va pas », a lancé dimanche Christoph Blocher, le leader de
l’UDC a même affirmé que les propos de Jean-Claude Juncker lui rappelaient ceux d’Adolf Hitler, qui comparait la Suisse à un porc-épic.
« Le fascisme Européen, Mister Bond …votre nouvelle mission ! «
A propos de la critique du fascisme en Europe, il y a une remarquable tradition chez les britanniques, depuis Russell, Popper, Orwell et tant d’autres ames lucides et clairvoyantes du 20eme siecle.
Dans le reste d’Europe, la tradition est moins ancrée, et en France, reconnaissons-le, un peu faible, mais des intellectuels isolés comme Aron, Camus, Revel, et aujourd’hui des figures comme Finkielkraut ou Zemmour, servent de rempart notable contre les totalitarismes et les ideologies de mort et esclavitude si appreciées par les establishment franchouillard et europeen (rapellons le tapis rouge a Chavez a Venice recemment).
En Amerique Latine, la tradition est presque inexistente, et il faut rendre honneur a Mario Vargas Llosa pour le role salutaire qu’il a joué depuis 20 ans. Dans le coté politique, apart Alvaro Uribe, il y a pratiquement rien.
Pour continuer et approfondir la discussion que nous avons commencé sur le fascisme en Argentine, malediction de ce pays qui l’a ruiné et l’a empeché de devenir une respectable puissance mondiale, rien de mieux que cet excellent essai de Vargas Llosa à propos de l’attitude ambigue de Borges face a la dictature de Videla (je ne suis pas 100% d’accord avec les conclusions de MVL, je crois que Borges était un pessimiste et un provocateur avec une forte dose de cynisme, car il souffrait beaucoup avec le culte au fascisme en AL et dans les milieux intellectuels dans le monde. Rappelons qu’il a été exclu du Nobel car il n’a jamais encensé Castro et l’URSS comme un Neruda, Garcia Marquez, et tant d’autres pro-fascistes considerés des luminaires de la pensée contemporaine).
Bonne lecture!
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BORGES, POLÍTICO
POR MARIO VARGAS LLOSA
La figura de Borges estuvo siempre perseguida por un fantasma: el de sus inclinaciones políticas. Si bien es cierto que abominó del fascismo y el comunismo por igual, también lo es que aceptó condecoraciones de Pinochet y la junta militar argentina. En esta entrega, Vargas Llosa analiza los claroscuros de un escritor inmortal.
Como Borges escribió casi siempre textos cortos, existe la errada creencia de que su obra es muy breve. En realidad, es enorme; se comprueba ahora con las recopilaciones póstumas, que cada año, cada mes, llueven abrumadoramente sobre sus crecientes y justificados admiradores. Buen número de esos libros son forzados e interesados, pues constan de artículos o notas que se editan en contra de la voluntad de su autor, quien no los consideró dignos de esa relativa perennidad que significa el libro. Pero algunos de ellos deben ser bienvenidos, pues rescatan textos interesantes que nos enriquecen el mundo de Borges.
Es el caso de Borges en Sur (1931-1989) (Emecé, Buenos Aires, 1999), en el que Sara Luisa del Carril y Mercedes Rubio de Socchi han reunido todos los textos de Borges publicados en Sur « que permanecían fuera del alcance del público ». El volumen, aunque compuesto de notas, reseñas de libros y películas, cartas, discursos, cuestionarios y otros textos de compromiso, se lee con el placer que deparan los ensayos o incluso los relatos que el propio Borges reunió en libros. Porque casi todos ellos están escritos en el maravilloso estilo que creó, prodigio de precisión e inteligencia, de ironía (que podía ser mortal en las polémicas, como en su respuesta a Ezequiel Martínez Estrada, que lo había llamado « turiferario a sueldo » de la dictadura militar), humor y de una inmensa cultura literaria. Gide cuenta en su Diario que él y sus compañeros de redacción se empeñaron en que la parte más creativa y rigurosa de la Nouvelle Revue Française fuera la habitualmente menos considerada, es decir, la de las notas y reseñas, por lo general meras cuñas o rellenos, y que a este material debió la publicación su prestigio, tanto como a las colaboraciones importantes. Algo parecido podría decirse de Sur, donde, en casi todos los números, Borges se encargaba de escribir pequeños textos de circunstancias. Leyendo esta compilación comprobamos que ellos fueron el alma de la gran revista argentina que fundó y dirigió Victoria Ocampo. La fundó y dirigió, sí, prestando con ello un impagable servicio a su país, a América Latina y a la lengua española, pero quien le imprimió una personalidad y un carácter, una orientación —unas manías y unas fobias—, un rigor intelectual y ciertas coordenadas morales, fue Borges. Estos textos delatan ese magisterio, en cada página, en cada frase: la curiosidad universal que abarca todas las lenguas, todas las culturas (pero, de preferencia, la inglesa), el rechazo frontal del costumbrismo y el regionalismo literarios, de la literatura al servicio de la religión o de la ideología, del nacionalismo y el patrioterismo como coartadas culturales, y un exigente buen gusto.
Los textos sirven también para hacerse una idea bastante clara de las ideas y actitudes políticas de Borges, tema sobre el que todavía existe mucha confusión, y más estereotipos y caricaturas que conocimientos. Es verdad que Borges tenía un desinterés desdeñoso por la política (« es una de las formas del tedio », me dijo la primera vez que lo entrevisté, en 1964, en París), pero eso no da credenciales de apolítico: despreciar la política es una toma de posición tan política como adorarla. En verdad, ese desdén era consecuencia de su escepticismo, de su incapacidad para abrazar cualquier fe, religiosa o ideológica. ¿Cómo hubiera podido hacer suyo un entusiasmo político, no se diga una militancia, ese agnóstico que llegó a tomarse bastante en serio el idealismo del obispo Berkeley quien postuló que la realidad no existía, que sólo existía ese espejismo, o ficción cósmica, nuestras ideas o fantasías de la realidad? Jugaba con ese tema, desde luego, pero el juego de proclamar la esencial inexistencia del mundo material, de la historia y de lo objetivo, y del sueño y la ficción como la sola realidad, se convirtió en una creencia seria y no sólo dio a su obra un tema recurrente y original; también, llegó a transubstanciarse en su concepción de la realidad.
Sin embargo, este escéptico y agnóstico, incapaz de creer en Dios y alérgico a todo entusiasmo partidista en materia política, manifestó en muchas ocasiones, como se advierte en estos textos, preferencias y rechazos políticos perfectamente claros. Se declaró alguna vez un « anarquista espenceriano », algo que no quiere decir gran cosa. En verdad, fue un individualista recalcitrante, constitutivamente alérgico a ceder un ápice de su independencia y a disolverla en lo gregario, lo que, de hecho, lo convertía en un enemigo declarado de toda doctrina y formación política colectivista, como el fascismo, el nazismo o el comunismo, de los que fue adversario sistemático y pugnaz toda su vida.
Para serlo, en la Argentina de los años treinta y cuarenta, hacía falta convicción y coraje. La viscosa que es el peronismo se ha encargado de que no se recuerde ahora que en aquellos años Perón y su régimen eran pronazis, simpatizantes del Eje durante la guerra, al que prestaron innumerables servicios (algunos descubiertos y muchos encubiertos) y que tanto en el campo intelectual como en el político, la dictadura peronista estuvo más cerca de Hitler y Mussolini que de los aliados, a los que terminó por plegarse de manera oportunista sólo cuando la victoria era inminente. Aunque con típica coquetería, declaraba carecer « de toda vocación de heroísmo, de toda facultad política », Borges no cesó en esos años de denunciar en sus textos la « pedagogía del odio » y el racismo de los nazis, de defender a los judíos y manifestar su solidaridad con la causa de los aliados en la guerra contra Alemania. (« Mentalmente, el nazismo no es otra cosa que la exacerbación de un prejuicio del que adolecen todos los hombres: la certidumbre de la superioridad de su patria, de su idioma, de su religión, de su sangre ».) Por « ser partidario de los aliados », fue penalizado por el gobierno de Perón, que lo « degradó », removiéndolo del modesto cargo que ocupaba —auxiliar tercero en una biblioteca municipal del barrio Sur— a « inspector de aves de corral » (es decir, de gallineros).
Con lucidez, Borges vio en el nazismo la excrecencia de un mal mayor y más extendido: el nacionalismo. Lo denunció siempre, en la cultura y en la política, de una manera explícita y con esas cáusticas sentencias de su invención que, a la vez que sintetizaban en pocas frases un complejo argumento, demolían de antemano toda posible refutación. A menudo se burlaba de esos « turbios sentimientos patrióticos » que servían para justificar la mediocridad artística: « Idolatrar un adefesio porque es autóctono, dormir por la patria, agradecer el tedio cuando es de elaboración nacional, me parece un absurdo ». Nada le provocaba tanta indignación como que lo acusaran a él, a Victoria Ocampo, o a Sur de « falta de argentinidad ». Esa acusación, escribió luminosamente, « la hacen quienes se llaman nacionalistas, es decir, quienes por un lado ponderan lo nacional, lo argentino y al mismo tiempo tienen tan pobre idea de lo argentino, que creen que los argentinos estamos condenados a lo meramente vernáculo y somos indignos de tratar de considerar el universo ».
Por eso, el Borges que declaraba « yo abomino del nacionalismo que es un mal de época », defendió con consecuencia lógica la opción contraria — »sentir todo el mundo como nuestra patria »—, una opción tan írrita a la izquierda como a la derecha, adversarios en muchas cosas pero con frecuencia atizadores del « sentimiento nacional » y a menudo del patrioterismo demagógico. En un homenaje póstumo a Victoria Ocampo, Borges fue muy explícito en su vocación de ciudadano del mundo: « Ser cosmopolita no significa ser indiferente a un país, y ser sensible a otros, no. Significa la generosa ambición de querer ser sensible a todos los países y a todas las épocas, el deseo de eternidad… »
No eran aspavientos retóricos. Mostró la seriedad de sus convicciones antinacionalistas, durante la guerra de Las Malvinas — »la pelea de dos calvos por un peine », se burló—, a la que se opuso, escribiendo un poema. Lo había hecho también en contra de un conflicto con Chile, firmando un manifiesto de protesta contra la acción del gobierno militar en el que lo acompañaron apenas un puñadito de intelectuales argentinos. Su horror al nacionalismo explica, en parte, su hostilidad a la dictadura de Perón, consistente y sin fallas los doce años que duró (« años de oprobio y soberbia », los llamó). El « dictador encarnó el mal », dijo, y muchas veces recordó luego « la felicidad que sentí, una mañana de septiembre, cuando triunfó la revolución » que depuso a Perón.
En todo esto hay una coherencia que, sin embargo, se rompe con brusquedad con el apoyo franco que Borges prestó a dos de las dictaduras militares argentinas, la que derrocó a Perón (la de Aramburu y Rojas) y la que puso fin al gobierno de Isabelita Perón (la de Videla). Es un apoyo que no congenia para nada con su identificación con la causa aliada contra los nazis en la Segunda Guerra Mundial, y con su descripción tan exacta, en un discurso de agosto de 1946, del fenómeno autoritario: « Las dictaduras fomentan la opresión, las dictaduras fomentan el servilismo, las dictaduras fomentan la crueldad; más abominable es el hecho de que fomentan la idiotez ».
¿Cómo explicar esta contradicción? Por razones circunstanciales, ante todo. El levantamiento militar de Aramburu acabó con la ominosa tiranía populista y nacionalista de Perón, que, además de cancelar la democracia argentina, se las había arreglado para volver subdesarrollado y pobre a un país que tres décadas antes era uno de los países más modernos y prósperos del mundo. La ilusión de que el final del peronismo trajera consigo la democracia pudo explicar el inicial entusiasmo de Borges con el régimen militar. ¿Pero, y después, cuando fue evidente que no era la democracia sino otra dictadura, y no menos oprobiosa que la peronista, aunque de distinto signo ideológico, la que reprimía, censuraba, encarcelaba y mataba? Ya no resulta fácil explicar como un mero espejismo la simpatía de Borges por el régimen militar, del que, además, aceptó nombramientos y distinciones sin la menor reticencia.
Todavía más difícil de comprender es su entusiasmo inicial con la dictadura del general Videla, que acabó con el relativamente corto renacimiento de la democracia en Argentina, cuando ésta, es verdad, había tocado fondo en lo que se refiere a caos y violencia con los desafueros de Isabelita y su siniestro consejero López Rega. Pero esa dictadura militar fue una de las más desalmadas y sanguinarias que haya padecido América Latina, una dictadura que torturó, asesinó, censuró y reprimió con más ferocidad y falta de escrúpulos que todas las que le habían precedido. Es verdad que, cuando Borges llamó « caballeros » a los miembros de la junta militar, y fue a tomar el té con ellos a la Casa Rosada, era todavía en los comienzos, antes de que la represión alcanzara las dimensiones vertiginosas que luego tendría. Más tarde, sobre todo a partir de la diferencia de Argentina con Chile sobre el Beagle, tomó distancia con el régimen militar y lo censuró acremente. Declaró que los militares deberían retirarse del gobierno « porque pasarse la vida en los cuarteles y en los desfiles, no capacita a nadie para gobernar ». En 1981 provocó un escándalo, que atrajo sobre él una lluvia de diatribas de la prensa oficial, por afirmar que « los militares argentinos no habían oído silbar una bala ». Entre las recriminaciones, mereció una belicosa carta pública de un general. Pero esta toma de distancia con la dictadura militar fue tardía, y no lo bastante diáfana como para borrar la desazón tremenda que causaron, no sólo en sus enemigos, sino también en sus más entusiastas admiradores (como el que esto escribe), sus largos años de adhesión pública a regímenes autoritarios y manchados de sangre. ¿Cómo se explica esta ceguera política y ética en quien, respecto al peronismo, al nazismo, al marxismo, al nacionalismo, se había mostrado tan sensato?
Tal vez porque su adhesión a la democracia fue no sólo cauta sino lastrada por el escepticismo que le merecían su país y América Latina. Bromeaba sólo a medias cuando dijo que la democracia era un abuso de las estadísticas, o cuando se preguntaba si alguna vez los argentinos, los latinoamericanos, « merecerían » el sistema democrático. En su secreta intimidad es obvio que se respondía que no, que la democracia era un don de aquellos países antiguos y lejanos, que él amaba tanto, como Inglaterra y Suiza, pero difícilmente aclimatable en esos países a medio hacer como el que descubrió —el suyo— al volver a América Latina hacia 1921: « Un territorio insípido, que no era, ya, la pintoresca barbarie y que aún no era la cultura ». Esta cita es de 1952. Leyendo la colección de textos reunidos en este libro, se tiene la certeza de que, hasta el fin de sus días (que, de manera simbólica, fue a terminar a Suiza, donde había pasado su niñez y juventud) siguió creyendo lo mismo: su país y América Latina habían dejado atrás, tal vez, el puro salvajismo, pero les faltaba mucho para alcanzar la civilización (el territorio de la democracia y la cultura). Esa pobre consideración del continente explica, tal vez, que este exigente fantaseador, que jamás hubiera aceptado dar la mano a Franco, Stalin o a Hitler, aceptara ser recibido y condecorado por el general Pinochet.
Una de las ausencias literarias más notorias en este libro es, precisamente, América Latina. A excepción de su admirado Alfonso Reyes, la literatura latinoamericana sólo aparece encarnada en una antología de poetas traducidos al inglés, para ser zaherida sin piedad: « La culpa de los Huidobro, de los Peralta, de los Carrera Andrade, no es el abuso de metáforas deslumbrantes; es la circunstancia banal de que infatigablemente las buscan y de que infatigablemente no las encuentran ». Ese desprecio era parte de otro, más amplio, por la « indigencia tradicional de las literaturas cuyo instrumento es el español ». Cuando Borges, en uno de esos espléndidos relatos de Historia universal de la infamia, describió el prontuario de Bill Harrigan, o Billy the Kid, como el de alguien que « debía a la justicia de los hombres veintiuna muertes —sin contar mejicanos » no sólo hacía una de sus espléndidas boutades; escondida en ella iba una sospecha que, me temo, lo acompañaría hasta el último de sus días: América Latina no existía. Mejor dicho, existía sólo a medias y donde no importaba tanto, fuera de la civilización, es decir, de la literatura.
No es verdad que la obra de un escritor pueda abstraerse por completo de sus ideas políticas, de sus creencias, de sus fobias y filias éticas y sociales. Por el contrario, todo esto forma parte del barro con que su fantasía y su palabra modelan sus ficciones. Borges es acaso el más grande escritor que ha dado la lengua española después de los clásicos, de un Cervantes o un Quevedo, pero eso no impide que su genio, como en el caso de este último a quien él tanto admiraba, adolezca, pese o acaso debido a su impoluta perfección, de una cierta inhumanidad, de ese fuego vital que, en cambio, humaniza tanto la de un Cervantes. Esa limitación no estaba en la impecable factura de su prosa o en la exquisita originalidad de su invención; estaba en su manera de ver y entender la vida de los otros, la vida suya enredada con la de los demás, en esa cosa tan despreciada por él y, a menudo, tan justamente despreciable: la política. -Washington, D.C., octubre de 1999
INTERLUDE humoristique nécessaire :
Un Niño Japonés llega a Estados Unidos y el papá lo inscribe
en una escuela…
El primer día de clase, la maestra presenta a Susuki, hijo de un
empresario japonés, a los chicos de sexto grado.
Luego la maestra les dice a los alumnos:
-Empecemos repasando un poco de historia de América del norte
y del sur.
-¿Quién dijo « Denme la libertad o denme la muerte »?
La clase se quedó callada, excepto Susuki:
-Lo dijo Patrick Henry, en 1775.
-¡Muy Bien!
-¿Quién dijo « El gobierno del pueblo, para el pueblo no debe
desaparecer de la faz de la tierra »?
De nuevo, ninguna respuesta de la clase, salvo Susuki:
-Abraham Lincoln, en 1863.
La maestra asombrada, les dice:
-Chicos, debería darles vergüenza. Susuki que es nuevo en
nuestro país, sabe más de nuestra historia que ustedes…
La maestra alcanza a escuchar un susurro:
-¡A la mierda con los malditos japoneses!
-¿Quién dijo eso?, preguntó la maestra.
Nuevamente Susuki levanta la mano y dice:
-General Mc Arthur, en 1942.
La clase queda muda y uno de los chicos alcanza a decir:
-¡Voy a vomitar!
La maestra trata de ver quién fue el alumno irrespetuoso:
-Ya está bien, ¿quién dijo eso?
Y Susuki dice:
-George Bush padre, al primer ministro japonés, en 1991.
Uno de los alumnos, furioso, le grita al japonés desde el fondo:
-¡Chupame ésta!
Susuki, casi saltando en su silla, le dice a la maestra:
-Bill Clinton a Mónica Lewinsky, en 1997.
El alumno que era el número uno de la clase gritó:
-¡Yo era el primero hasta que llegó este japonés de mierda!
Y Susuki contesta:
-Mario Vargas Llosa – Elecciones peruanas, en 1990.
La clase entra en un estado de histeria.
La maestra se desmaya, cunde el caos…
Mientras los chicos se arremolinan alrededor de la desvanecida
maestra, uno de ellos exclama:
-¡Marica, la cagamos! ¿Y ahora cómo arreglamos esta Mierda?
Y Susuki responde:
Alvaro Uribe a sus cómplices cuando les descubrieron las chuzadas.!!!
Un article intéressant et nécessaire !
Il est toujours intéressant de rétablir la vérité , celle-ci étant ocultée par les médias en général au service de la gauche . Les militaires , dans tous les pays du monde sont détesté quand ils s’occupent de politique et sortent de leurs casernes . Il faut reconaitre que souvent ils le font mal , au moins sur le plan économique , avec une exception notable , Pinochet , qui a laissé un Chili en bien meilleur état qu’il était au moment du putsch . Mais , pour en revenir au militires qui sortent des casernes , à part queques tentatives de prises du pouvoir plus personnel que politique datant plus du début du XXéme siécle que des années contemporaines ,cela est plus souvent du à la demande des autorités civiles dépassées par des situations insurectionelles ou même par des attaques directes . Les différentes guerilla d’Amérique Latine avnt d’étre les victimes qu’elles prétendent , ont attaqué de nombreuses casernes et commissariats de police et tenté d’occuper certaines villes les armes à la main , ce qui peut difficilement étre pris pour un acte démocratique . Lres militaires , une fois sortis des casernes , se trouvent dans une situation ou ils subissent une guerre révolutionnaire sans avoir les moyens (juridiques) d’y faire face . Il n’y a pas de guerre révolutionnaire propre et contre révolutionnaire encore moins . La traque au poseur de bombes se fait au moyen de renseignements et il faut bien obtenir ceux-ci parfois en utilisant des moyens coercitifs . La propagande , un art mieux manié par la gauche , donne une aura plus favorable au « gentil » poseur de bombes qu’au traqueur de guérilla ou au policier chargé de maintenir l’ordre . La manipulation de comités , l’utilisation des familles , l’appel au droits de l’homme (toujours respectés lorsque les guérillas arrivent au pouvoir, n’est-ce-pas? ) est une spécialité utilisée par la gauche et surtout la gauche marxiste . Le comités des méres de la » plazza de Mayo » reste une institution incontournable encore aujourd’hui pour la presse internationale . Elle est cependant une construction du Parti Communiste auquel appartient les initiatrices du mouvement . Gageons qu’un comité des victimes du terrorisme n’aurait pas eu le même succés dans la presse . Ne parlons pas du gonflage du nombre des victimes habituels dans ces cas-là et toujuours du même côté !
Une opinion peu répandue serait de rendre hommage à ceux qui ont lutté pour éviter le communisme à leurs patries respectives et qui , aprés quelques années de dictatures, il est vrai , ont permis une transition réellement démocratique et n’oublions pas que l’installation du communisme dans un pays , quel qu’il soit , se solde par une émigration massive et une répression bien plus dure que celle subit dans les pays incriminés en Amérique Latine .Quelques milliers de disparus pour éviter les dégats d’une dictature communiste , toujours plus longue qu’une prise du pouvoir des militaires, sont certes un drame humain mais au final une bonne affaire pour ce pays !
Merci pour ma famille argentine de rappeler les causes de la répression argentine et d’indiquer cette épisode tragique. Les Kirchner mème une politique de spoliation à leur profit et la masque aux yeux des médias étrangers par les procès relatifs à la dictature militaire. Et il faut reconnaître que jusqu’ici ça a plutôt marché. J’étais à Buenos Aires sur la place de la casa rosada lors des 20 ans des folles de mai, dans les médias français (et peut-être d’autres?) on parlait d’une grande manifestation, hors il n’y avait presque personne sur cette place.
Susuki, plus fort lui seul que toute cette supercherie de Wikileaks. Le Monde, Guardian, NYTimes, et co. n’auront pas la lucidité de demander conseil au petit Susuki San pour sortir des tenebres LOL.
J’ai suivi a la Tele (en direct) l’ouverture des nouveaux congres au Venecuba et aux USA.
Au Venecuba, le parti de Chavez qui avec une minorite de 48% des votes s’est offert 97 deputes alors que l’opposition avec une majorite de 52% des votes n’en recoivent que 65 dont trois sont en prison (malgre leur immunite parlementaire) pour soit-disantes insultes au Dieu-president. Le president de cette assemblee nationale est un « dur extreme gooochiste » et ses deux vice-presidents sont pareils. Leurs trois discourts n’etaient qu’insultes et menaces a l’opposition presente, aux USA et a l’Europe et pleine d’eloges aux guerillas terroristes, a Fidel, l’Iran, la Palestine et autres de ce genre.
Aux USA (imperialiste d’apres Chavez) les discourts etaient polis, mesures et conciliants, bien que les democrates (autres gooochistes) tiraient la gueule et se gardaient bien d’applaudir les paroles conciliantes de la nouvelle majorite (republicaine).
Hummm, d’apres vous quels sont les vrais « imperialistes » aujourd’hui?
A savoir qu’au Venecuba, suite aux elections de septembre (detruisant le monopoly du parti de Chavez) l’assemblee nationale Chavistas a profiter des trois mois qu’il lui restait au pouvoir pour passer des lois rendant la nouvelle assemblee sans aucun pouvoir car le Dieu-president Chavez a recu plein pouvoir de diriger pendant les prochains 18 mois (fin de son mandat presidenciel) par decrets sans avoir a consulter l’assemblee. Curieusement certains « bras droits » de Chavez et actuellement de ses ministres furent « elus » a l’assemblee pour etre sous le « parapluie » d’immunite, au cas ou…
C’est beau « les democraties applaudies par la gooooche »!
Autre sujet: Scandale a New York qui fut enceveli sous les tempetes de neiges ces dernieres semaines (un metre de neige et pas dix centimetres comme a Paris). Les syndicats des employes (gouvernementaux) des services de voirie (responsables du deblaiement de la neige et glace) avaient donne l’ordre aux fonctionaires de faire une greve « secrete et sauvage » pour « punir » la ville de N-Y pour avoir reduit certaines « facilites financieres » a ces syndicats.
Cette greve sauvage fut la cause de plusieurs deces a New-York (impossibilite pour les pompiers d’acceder aux incendies, impossibilite aux ambulances d’acceder aux appels en urgence, etc…).
Les autorites judiciaires de New-York font enquetes criminelles apres avoir recu « moultes » temoignages avec preuves. Voila des condamnations de dix a quinze annees de prison pour les syndicalistes et les meurtriers.
Les lois Americaines INTERDISENT aux agents d’etats (fonctionaires) de faire la greve si cette greve met en danger la vie, la propriete ou les droit fondamentaux des citoyens. Regan avait utilise cette loi pour « virer » tous les controleurs aeriens (greve sauvage dans les annees 80′s) pour les remplacer par des controleurs militaires.
Le goooochiste Clinton avait « reinstaure » lors de son premier mandat certains de ces grevistes (principalement les controleurs dirigeants syndicalistes).
Hummm, la virilite morale de l’homme se « ramoli » apres les « pipettes » des secretaires!
Les chaines TV US sont pleines de ce scandale New-York et toutes se revoltent contre « l’importation gooochiste Europeenne, Espagnole et Francaise » qui donne aux syndicats la liberte de prendre en « otage » la vie d’autrui par un terrorisme deguise.
La France fit cadeau a l’Amerique de la statue de la liberte, maintenant la France fait cadeau au monde ses idees « bling-bling » anarchistes aux excuses de politiquement correct.
Sachez qu’aux USA, les employes d’etat « fonctionaires » sont payes 87% plus qu’en secteur prive et il est pratiquement impossible de virer un « fonctionaire » meme pour faute grave. Dans l’etat de New-York, un fonctionaire fut condamne a 30 annees de prison pour viol et meutre d’une mineure d’age. Malgre ses aveux et apres sa condamnation il fallut plus de trois annees pour la ville de N-Y de combat contre son syndicat pour le virer de sa fonction et de ses droits a son salaire et « goodies ». Hummm, on se croirait en France…bien qu’il n’etait un « jeune »!
En plus: Savez-vous que la crise economique de 2008 fut provoquee par deux agences de prets immobilies instaures par l’extreme goooochiste « cacahuette » Carter avec le but de « preter beaucoup de $$$$ » aux demunis, pauvres, bandits et meme etrangers illegaux pour leurs procurer le « reve » de vie en chateaux sachant tres bien que ces « prets hypothecaires » ne seront jamais rembourses.
Qu’importe! Ces sommes faramineuses (perdues d’avance) furent deguisees en produits d’investissement dont les banques Europeennes ont matraque leurs clients « bidochons » alors que cdes banques devaient savoir « l’arcenic » qu’ils leurs vendaient.
Le capitalisme ou mieux l’atrait de l’argent est tout aussi allechant aux goooochistes (qui le font en cachette car ils ne font que le voler) qu’aux investisseurs capitalistes qui y mettent leurs economies.
Pour copier yves par un commentaire moins « serieux » mais certainement vrais!
Banlieue de Paris, une maman baigne son fils « petit Nicolas » age de 4 ans.
Petit Nicolas patauge dans la baignoire et se « tripouille » ses bijous de famille.
Maman: « Que fais-tu la, laisses cela tranquille! »
Petit Nicolas: « C’est ca mon cerveau? »
Maman « Mais non, cela sera ton cerveau dans 15 ans! »
Quand une Présidente condamnée pour terrorisme invite dix camarades de cellule à sa prise officielle du pouvoir , il ne faut pas s’attendre à ce qu’elle favorise l’extradition d’un terroriste Italien , du même bord qu’elle .Si celui-ci était d’éxtréme-droite , cela serait différent . François Mitterand en 1981 avait fait de même ; accorder la résidence aux gens des « Brigades Rouges » réfugiés en France et livrer quelques pseudos »Fascistes » qui n’avaient pas eu le temps de gagner l’Espagne , puis la Colombie ( à l’époque 200 ou 300 membres d’organisations d’éxtréme-droite en lutte contre les Brigades Rouges s’étaient réfugiés d’abord en Espagne avant de gagner la Colombie . Y sont-ils encore , je l’ignore ? ) C’était une curieuse conception des droits de l’homme , on pourrait appeler cela » les droits du terroriste de gauche « . Certaines organisations de défense de ces droits étaient assez sélectives comme « Amnesty International » à l’époque !
En complement a mon post concernant la nouvelle Assemblee Nationale du Venecuba.
Son president n’est rien d’autre que Fernando Soto Rojas qui fut charge par Chavez d’eriger une statue en l’honneur de Manuel Marulanda « Tirofijo » sur une place publique au Venecuba. Soto fut un guerilleros aupres de ce Tirofijo sur la frontiere Venezo-Colombienne. Soto egalement fut celui qui « devoila » la statue de Tirofijo (elle etait recouverte par le drapeau Venez), a l’epoque Soto vivait dans l’ombre et tous les Venez se demandaient qui etait cette « bete sans cou » elogiant la criminilate des FARC devant les cameras des medias. L’hypocrite Chavez n’a pas ose le faire lui-meme. Soto a un QI approchant celui d’un « chimp » confirme par son discourt a la A.N.
« Hugorille » seconde par « Sotchimp », le Venezoo se complete.
Peu importe car cette nouvelle A.N. n’a aucun pouvoir devant le Dieu-Chavez qui gouverne par decrets dictatoriaux.
Le Venez est passe d’une dictature cachee en une dictature pleine et sauvage a la mode de Castro.
Bien que…Chavez a refuse de signer une loi sur les universites passee il y a 15 jours par l’ancienne A.N. sous les ordres de Chavez pour donner l’occasion a la nouvelle AN (sans aucun pouvoirs) et a l’opposition de « debabattre » cette loi contraire a la constitution »!!!!
Quel faux-cul ce Chavez! …Bien qu’il soit « l’ami avoue » de Sarkophage.